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Mes monochromes naissent de l’apposition successive de plusieurs couches de gouttes de peinture reproduites sur toute la surface de la toile. Ce processus répétitif, hypnotique, me permet d’accéder à un espace où je peux peindre le cosmos en utilisant chaque goutte comme un atome.

Mon travail est exposé à Paris chez ‘Bettina von Arnim’ et ‘Atelier du Faubourg Saint Honoré’, et à Barcelone chez ‘Imaginart’. L’une de mes toiles est installée à la « Fondation Imagine », un lieu unique de recherche et de traitement des maladies génétiques dans le nouvel Hôpital Necker construit par Mr Jean Nouvel, qui a ouvert ses portes en 2014.

Aujourd’hui, je peins et je me concentre sur mon développement personnel et sur l’amélioration de mes relations avec les autres, et je fais tout pour être heureuse.

Mes parents m’ont nommée Jane parce qu’ils adorent ce prénom et voulaient une orthographe courte pour aller avec mon nom de famille plus long, Guilhen-Puylagarde. Enfant, je n’aimais pas mon prénom, c’était un nom de grand-mère et ma famille m’appelait Janet, ce que je n’aimais pas du tout. Je voulais m’appeler Nathalie.

Ce qu’il y a de bien lorsque l’on s’appelle Jane est de se sentir unique et internationale parce que je ne connais aucune autre Jane de ma génération. Le pire, c’est lorsque que les gens l’écrivent à la française, Jeanne.

Je pense que ce projet est unique et brillant. Cela rend notre nom encore plus beau et sensuel. Cela me permet d’être libre et de me sentir unique !

Je ne suis pas une seule Jane, je suis une multitude de Jane.

Jane the Agency